Aujourd’hui, nous avons déposé un amendement à notre demande initiale auprès de l’Office national de l’Énergie (ONÉ) suite à de récentes modifications que nous avons apportées au projet Énergie Est.
Ces modifications, qui incluent un ajustement du tracé proposé de l’oléoduc et d’autres aspects du projet, sont le fruit de nombreuses consultations avec les résidents locaux, les propriétaires fonciers, les représentants de communautés autochtones, les élus ainsi que nos clients.
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« Cette demande modifiée a été définie par la consultation directe, sur le terrain, de Canadiens partout au pays, » affirme Russ Girling, le président et chef de la direction de TransCanada, en faisant référence aux quelques 7 000 propriétaires fonciers, 755 communautés, 481 premiers intervenants et presque 11 000 participants aux portes ouvertes auxquels nous avons parlé depuis l’annonce du projet il y a trois ans.
« Les milliers de Canadiens que nous avons rencontrés comprennent l’importance et la signification de ce projet, et ce qu’il représente pour la sécurité énergétique et la prospérité économique de notre pays, » ajoute Girling. « Toutefois, les Canadiens veulent également être assurés que ce projet ne se fera pas au détriment de la sécurité et de l’environnement. Cette demande confirme que nous sommes en mesure de le faire. »
Ce dialogue ainsi que des études environnementales et techniques approfondies sur le terrain sont à l’origine de plusieurs changements par rapport à notre dépôt initial à l’ONÉ.
Demande modifiée . . .
Nous avons, par exemple, apporté près de 700 modifications au tracé proposé du pipeline, répondant ainsi à des préoccupations sur la protection de l’environnement ainsi que des questions spécifiques soulevées par des propriétaires fonciers et des municipalités. Encore une fois, ces changements sont une réponse directe à ce que les communautés et les études de terrain nous ont dit.
Nous estimons maintenant le coût total du projet à 15.7 milliards de dollars suite aux changements sur l’échéancier et à la portée du projet. Sa mise en service est toujours projetée en 2020, date à laquelle l’oléoduc réduira considérablement les importations dont dépendent les raffineries du Québec et du Nouveau-Brunswick – permettant ainsi de conserver les emplois et les investissements ici au Canada.
. . . mêmes retombées importantes
Même si certains aspects du projet ont été modifiés, les retombées économiques d’Énergie Est demeurent significatives pour les Canadiens.
Le projet appuiera plus de 14 000 emplois durant chacune des neuf années de conception et de construction du pipeline, et générera 10 milliards de dollars en impôts fédéral et provincial, selon un rapport mis à jour par le Conference Board du Canada (CBoC) suite aux modifications au projet.
Un autre élément demeure inchangé. Il s’agit de notre engagement indéfectible envers la sécurité. Depuis que nous avons annoncé le projet Énergie Est, nous avons continué à travailler dur pour former les premiers intervenants et notre personnel d’intervention d’urgence.
Les oléoducs demeurent la façon la plus sécuritaire de transporter le pétrole jusqu’aux consommateurs mais cela ne veut pas dire que nous restons les bras croisés. Au contraire, nous ne relâchons pas nos efforts pour améliorer nos mesures de sécurité, et cela signifie aussi que nous nous préparons afin d’être en mesure de réagir rapidement et efficacement à toute situation d’urgence sur l’oléoduc.