TransCanada souhaite rassurer les gens qui dépendent du gaz naturel pour chauffer leur maison et pour alimenter les entreprises, les écoles et les hôpitaux d’Ontario et du Québec sur un point : Nous continuerons à nous assurer que la capacité de pipeline nécessaire est en place pour répondre à vos besoins en énergie d’aujourd’hui et de demain.
Dans sa chronique intitulée, “If Alberta oil heads east, benefits for Ontario are hard to see” (en anglais uniquement), l’économiste Jeff Rubin fait un certain nombre d’erreurs au sujet du projet Oléoduc Énergie Est proposé par TransCanada.
Si le pipelineÉnergie Est était construit, il transporterait encore 1,1 million de barils par jour vers l’océan Atlantique, où il pourrait approvisionner des raffineries et permettre d’améliorer un peu plus la situation des marges. Les avantages pour l’Ontario sont plus difficiles à percevoir.
Les Faits:
Énergie Est créera 10 000 emplois à temps plein - des emplois bien rémunérés pour aider les Canadiens à pourvoir aux besoins de leur famille. En Ontario, Énergie Est va créer 2 300 emplois directs dans la phase de développement et de construction du projet, et 6 000 emplois indirects.
Ensuite, il y a les avantages à plus long terme - 13 milliards de dollars en PIB pour l’économie Ontarienne sur la durée de vie du projet et 3,5 milliards de dollars en recettes fiscales supplémentaires qui aideront à réparer des routes, construire des écoles et des hôpitaux, ou rénover de vieux édifices publics - la liste est longue. Pour de nombreuses communautés, cette manne compensera la perte de revenus liée à la fermeture d’usines, de mines et d’autres complexes industriels. La contribution de 13 milliards de dollars du projet au PIB de l’Ontario équivaut à la contribution annuelle de l’industrie automobile de la province.
Une proposition de TransCanada de construire une nouvelle conduite de gaz naturel dans la province semble bonne en apparence, mais bien moins magnanime quand on sait que la société a demandé à la Commission de l’énergie de l’Ontario d’approuver une augmentation de 52,3 pourcent des tarifs qu’elle charge à certains de ses clients. Pourquoi les utilisateurs de gaz naturel de l’est de l’Ontario devraient-ils subventionner le transport du bitume Albertain ?
Les Faits:
Nous construisons de nouvelles infrastructures de pipeline en Ontario pour nous assurer que les Ontariens recevront tout le gaz naturel dont ils ont besoin pour chauffer et climatiser leur maison ou cuisiner leurs repas. TransCanada s’est engagée à présenter une proposition au Conseil national de l’énergie qui garantisse que les coûts pour nos clients de gaz naturel n’augmentent pas en raison du projet Énergie Est. Énergie Est ne sera en aucune façon «subventionné» par les clients de gaz naturel de l’Ontario et du Québec. En fait, nous prévoyons que les frais de transport de gaz diminuent grâce à ce projet car la conversion de la Canalisation Principale permettra de réduire le coût du service de cette canalisation et ceci profitera aux expéditeurs.
Si l’Alberta peut être tenue pour responsable du triste bilan Canadien sur les émissions de gaz à effet de serre, l’aval de l’Ontario sur le pipeline Énergie Est ferait de cette province son complice.
Les Faits:
Les faits montrent qu’Énergie Est n’affectera pas sensiblement le taux d’extraction ou de combustion du brut des sables bitumineux canadiens, ni son empreinte environnementale à l’échelle mondiale. Mais surtout, si le projet Énergie Est ne se réalise pas, le pétrole se déplacera quand même, par camions ou trains plutôt que par pipeline qui est la méthode la plus sûre et la plus respectueuse de l’environnement pour transporter pétrole et gaz naturel sur de longues distances.
Lisez la version intégrale de la lettre ouverte de TransCanada
Article complet: Globe and Mail – Publié le 7 juillet 2014
Nous souhaitons répondre à un article publié dans le Kenora Daily Miner and Newsle 10 mai2014,dans lequelnous avons trouvé plusieursdéclarations inexactes :
Le représentant du Conseil des Canadiens, Mark Calzavara, a vivement condamné le bilan sécuritaire de TransCanada, citant huit événements majeurs au cours des 20 dernières années. Il a attribué les incidents à des fissurations par corrosion, (et) la détérioration de la structure de la canalisation en acier après une période prolongée sous terre.
Les Faits:
Personne n’a plus grand intérêt que TransCanada à faire en sorte que nos pipelines fonctionnent en toute sécurité et fiabilité. Nous prenons d’importantes mesures préventives pour que nos pipelines soient aussi sécuritaires que possible. C’est pour cela que nous investissons environ 900 millions de dollars en moyenne, chaque année, dans des programmes de maintenance et d’inspection de l’intégrité de nos pipelines afin de nous assurer que nos systèmes d’infrastructure fonctionnent comme ils le doivent. Notre objectif est « zéro incident » de pipeline qui puisse porter atteinte à la sécurité publique ou à l’environnement.
Il (Calzavara) dit que le projet Énergie Est, et la proposition de convertir un gazoduc pour le transport de bitume dilué des sables bitumineux, nous feraient courir à la catastrophe environnementale.
Les Faits:
TransCanada a réalisé plusieurs conversions de pipelines, et ce avec succès, tout au long de son histoire de 60 ans. L’exemple le plus récent est la conversion de 860 km de la Canalisation principale pour le système de pipeline Keystone, qui a livré en toute sécurité plus de 600 millions de barils de pétrole brut aux États-Unis depuis le début de son exploitation en juillet 2010.
« Cette partie du projet n’est pas sécuritaire car le pipeline a 40 ans et est sujet à des fissures causées par la corrosion. »
Les Faits:
La sécurité est un élément essentiel dans tout ce que nous faisons. Dans cet esprit, nous soumettrons la Canalisation principale à un nettoyage en profondeur ainsi qu’à des inspections poussées avec des outils de haute résolution pour identifier tout problème potentiel. Une fois l’intégrité de la Canalisation ré-établie, nous installerons des systèmes électroniques de détection des fuites qui permettent à TransCanada de surveiller l’exploitation du pipeline 24 heures par jour, sept jours par semaine, à partir de son centre de contrôle à Calgary.
« Le bitume dilué est la pire des choses à pomper. Il y a un risque de déversement plus important d’une matière beaucoup plus difficile à nettoyer. »
Les Faits:
Plusieurs études menées par des organismes de recherche scientifique respectés, y compris l’Académie nationale américaine des sciences, Battelle Memorial Institute, Penspen Institute et Ressources naturelles Canada, ont montré que le bitume dilué (dilbit) se comporte de la même manière que le pétrole brut classique, et ne pose donc aucun risque supplémentaire lorsqu’il est transporté par pipeline. Le nettoyage du dilbit pose les mêmes défis que le nettoyage du pétrole conventionnel. TransCanada s’efforce de mettre en œuvre des plans d’intervention d’urgence spécifiques à chaque site, en collaboration avec les intervenants d’urgence locaux, pour assurer une réponse rapide dans le cas peu probable d’un incident.
« Pourquoi chercher à gagner du temps et risquer une catastrophe écologique et économique, tout cela pour une industrie de l’énergie vieillissante à la technologie dépassée qui n’existera probablement plus dans 50 ans? »
Les Faits:
Un récent rapport de l’Agence internationale de l’énergie a dit que la demande mondiale d’énergie continuerait à croître pendant les 20 prochaines années. Nous devons faire face aux besoins énergétiques de la planète avec des solutions stables et raisonnables pour les Canadiens. Construire des pipelines sécuritaires pour répondre à nos besoins en pétrole et gaz aujourd’hui, comme le font des entreprises telles que TransCanada, est une des solutions pour faire face au défi du changement climatique.
Article complet: Kenora Daily Miner and News – Publié le 10 mai 2014
Un article publié le 29 avril 2014 dans le Cornwall Standard-Freeholder cite plusieurs militants professionnels qui font des déclarations mensongères sur notre projet Energie Est. Nous tenons à rétablir les faits :
« Nous ne devrions pas permettre qu’un méga-projet de ce type se fasse dans notre collectivité sans débat, » elle (la présidente du Conseil des Canadiens Maud Barlow) dit.
Les Faits:
Depuis l’annonce du projet en Août 2013, TransCanada a consulté près de 500 collectivités situées tout au long de la route du pipeline, et a tenu plus de 80 journées portes ouvertes en Alberta, dans la Saskatchewan, au Manitoba, en Ontario, au Québec et au Nouveau-Brunswick pour pouvoir répondre aux questions et obtenir des commentaires des communautés Premières nations et Métis, les propriétaires fonciers et les membres des collectivités locales.
Barlow dit que la plupart des centres de traitement des eaux ne peuvent faire face à une fuite ou rupture de pipeline transportant du bitume, et que les responsables n’ont aucun plan d’intervention de secours en place.
Les Faits:
Une des principales préoccupations soulevées dans les journées portes ouvertes était la nécessité de protéger les points d’eau. Nous sommes absolument d’accord. Nous allons prendre des mesures spéciales pour le franchissement des cours d’eau en installant des pipelines à paroi plus épaisse, une protection cathodique qui empêche la corrosion externe et des valves de fermeture sur chaque rive d’un grand cours d’eau. Ces valves seront contrôlées à distance par le Centre de contrôle des opérations de TransCanada, qui fonctionne 24 heures sur 24, sept jours sur sept.
Au-delà de ces mesures de sécurité, les équipes d’Énergie Est mettront en œuvre des plans d’intervention d’urgence qui incluent la mise en place d’équipements spécialisés et d’équipes de terrain spécialement formées tout au long du parcours du pipeline, ainsi que l’organisation d’exercices d’entrainement réguliers.
Le problème avec l’Oléoduc Énergie Est, c’est qu’il transportera du pétrole bitumineux qui doit être mélangé à des produits chimiques pour être transporté par pipeline et qu’en cas de fuite, celui-ci se désagrège et coule, rendant les activités de nettoyage difficiles, a expliqué Bowman.
Les Faits:
Le projet de pipeline Énergie Est transportera divers types d’huiles - huile légère conventionnelle, pétrole lourd, pétrole de schiste et celui issu des sables bitumineux à la fois sous la forme d’une huile synthétique brut (pétrole léger) et de bitume dilué (lourde huile). Plusieurs études menées par certains organismes de recherche scientifique extrêmement respectés (Académie nationale américaine des sciences, Battelle Memorial Institute, Penspen Institute et Ressources naturelles Canada …) ont tous conclu que le bitume dilué (dilbit) se comporte de la même manière que les huiles brutes classiques. Le dilbit flotte sur l’eau, comme les pétroles bruts conventionnels, et comme les pétroles bruts conventionnels, il peut couler s’il reste dans l’eau pendant une période prolongée. Un nettoyage rapide est donc essentiel et c’est pourquoi TransCanada travaille dur pour développer et mettre en œuvre des plans d’intervention d’urgence spécifiques à chaque site, et ce en collaboration avec les intervenants d’urgence locaux, pour assurer une réponse rapide en cas d’incident.
Article complet: Cornwall Standard Freeholder – Publié le 29 avril 2014
Nous tenons à réfuter la déclaration suivante faite par Maude Barlow, présidente du Conseil des Canadiens, au quotidien Nugget, et lui soumettre les faits démontrant que le projet de 12 milliards de dollars d’Énergie Est génèrera bien des avantages pour nos provinces et le Canada tout entier.
« Il n’y a aucun argument en faveur de ce pipeline. Il s’agit d’un pipeline d’exportation et nous n’en avons pas besoin, » a déclaré Barlow.
Les Faits:
Le Québec et le Nouveau-Brunswick importent actuellement plus de 700 000 barils de pétrole par jour - soit 86 pourcent de leurs besoins en matière de raffinage - en provenance de pays tels que l’Algérie, l’Irak, l’Arabie Saoudite et le Nigeria. Au prix actuel du pétrole, cela représente plus de 75 million de dollars qui sortent de l’économie canadienne - chaque jour. Énergie Est propose de connecter les ressources de l’Ouest canadien aux besoins de l’Est du pays. Un meilleur accès aux ressources domestiques permettrait d’améliorer la viabilité financière des raffineries de l’Est en leur donnant accès à des sources d’approvisionnement domestique moins coûteuses et stables.
Une fois cet objectif atteint, Énergie Est fournira les marchés de l’exportation. TransCanada a toujours été transparente sur ce sujet et ce n’est pas quelque chose que nous tentons de dissimuler. Les exportations sont une bonne chose pour notre pays. Elles contribuent à la croissance économique. Elles créent des emplois. Elles génèrent des recettes fiscales qui permettent à nos provinces de construire de nouvelles universités, de rénover des centaines de kilomètres de routes ou de financer des soins à domicile pour nos aînés.
Article complet: North Bay Nugget – Publié le 11 avril 2014
TransCanada a annoncé le 5 novembre 2015 qu’elle modifiera sa demande pour Énergie Est, présentement déposée auprès de l'Office national de l'énergie, pour retirer du projet la construction d'un port au Québec. La demande se concentrera désormais sur l’approvisionnement de trois raffineries au Québec et au Nouveau-Brunswick, ainsi que d’un terminal maritime au Nouveau-Brunswick.