Nous avons un profond respect pour les Québécois et le Québec. Voilà pourquoi, lorsque nous avons déposé notre description du projet auprès de l’Office national de l’énergie (ONÉ) en mars 2014, nous savions qu’un processus d’audience au Québec, le Bureau d’audiences publiques sur l’environnement (BAPE), viendrait compléter le processus fédéral et donnerait la possibilité aux Québécois d’en apprendre davantage sur le projet et d’exprimer leur opinion.
C’est pour cela qu’il a été convenu que nous participerions au processus du BAPE demandé par le gouvernement du Québec pour Énergie Est.
Comment respectons-nous la demande du Québec?
Après plusieurs mois de discussions productives, nous avons convenu d’un processus détaillé. Le Québec a demandé au BAPE de tenir des audiences qui commenceront le 7 mars 2016.
« Nous sommes impatients de répondre aux questions des Québécois », affirme Louis Bergeron, vice-président d’Énergie Est pour le Québec et le Nouveau-Brunswick. « Il s’agit d’un processus ouvert, inclusif et transparent, que les Québécois connaissent et respectent ».
Comment répondons-nous aux exigences envers Énergie Est?
Nous travaillons activement pour répondre à toutes les exigences du BAPE, en complément à l’examen du projet par l’Office national de l’énergie, qui comprend une évaluation approfondie des impacts environnementaux du projet à travers le pays. Avec les améliorations annoncées récemment dans le processus très strict de l’ONÉ, ce sera le projet le plus étroitement contrôlé dans l’histoire du pays.
« Nous sommes prêts à répondre à toutes les questions du processus du BAPE et nous serons à l’écoute des commentaires présentés. Nous restons convaincus que ce processus du BAPE peut répondre adéquatement aux préoccupations des Québécois », ajoute Louis Bergeron. « Mais au-delà du processus du BAPE, nous nous engageons à être davantage à l’écoute des questions et des commentaires des Québécois, et à répondre du mieux possible à leurs préoccupations. »
Comment sommes-nous à votre écoute?
Pour nous, il est très important d’écouter les parties prenantes et de tenir compte de tous les impacts du projet - sociaux, environnementaux et économiques. Nous avons entendu vos préoccupations au sujet des bélugas dans la baie de Cacouna, et nous avons travaillé avec des scientifiques - Énergie Est a engagé plus de 900 scientifiques afin de mener des études sur plus de 180 territoires - pour établir le meilleur tracé possible et pour déterminer un autre endroit que Cacouna pour notre terminal maritime.
Il y a à peine 10 semaines, le 17 décembre 2015, nous avons fait une modification importante à la demande pour le projet, basée entièrement sur les commentaires reçus au cours de vastes consultations avec les résidents, les propriétaires fonciers, les communautés autochtones, les autorités locales et nos futurs clients.