Énergie Est est un projet d’oléoduc de 4 500 km qui transportera environ 1,1 million de barils de pétrole brut par jour de l’Ouest du Canada vers des raffineries de l’Est canadien et un terminal maritime au Nouveau-Brunswick. Le projet Oléoduc Énergie Est prévoit de convertir environ 3 000 km d’un gazoduc existant – le Réseau Principal Canadien – en un pipeline de transport de pétrole, et de construire un nouvel oléoduc de 1 500 km.
Non. Depuis que le projet a été annoncé en 2013, l’équipe d’Énergie Est a mené de nombreuses évaluations environnementales, y compris l’analyse des cours d’eau situés le long du tracé de l’oléoduc. Ces études aident à concevoir les franchissements de cours d’eau (méthodes pour traverser des plans d’eau avec le moins d’impact possible sur l’environnement) au cas par cas. La protection des ressources en eau est extrêmement importante et c’est pourquoi nous prenons des précautions supplémentaires aux abords des plans d’eau.
La planification et la construction de l’oléoduc créera plus de 9 200 emplois directs à temps plein et plus de 4 700 emplois indirects. Au cours des 20 premières années de son exploitation, Énergie Est devrait créer 900 emplois directs à temps plein, partout au Canada, ainsi que des milliers d’emplois indirects.
Le Canada a besoin d’un pipeline d’Ouest en Est, pour que le pays puisse transporter les vastes ressources de pétrole brut de l’Ouest vers les raffineries de l’Est.
Énergie Est permettra de diminuer notre dépendance envers le pétrole étranger et de réintégrer des milliards de dollars dans notre économie. En 2015, l’importation de pétrole au Canada a bondi de 16 pour cent pour atteindre les 736 000 barils par jour, malgré le fait que nous détenions les troisièmes plus grandes réserves de pétrole dans le monde. Au prix moyen du baril l’an dernier, ce sont 35 millions de dollars qui quittent notre économie nationale chaque jour. Notre pays dépend de plus en plus de pays du Moyen Orient et de l’Afrique qui n’ont aucun contrôle sur l’impact environnemental de leur production de pétrole, au lieu de s’appuyer sur nos réserves d’ici, où les lois en matière d’environnement sont parmi les plus strictes sur la planète.
Nos échanges avec les propriétaires fonciers, les municipalités et les communautés autochtones ont provoqué de nombreux changements au projet Énergie Est d’origine. Par exemple, nous avons apporté près de 700 modifications au tracé proposé de l’oléoduc, en réponse à des enjeux tels que les préoccupations environnementales.
Les arpenteurs-géomètres recueillent toutes les données géographiques et foncières dont l’équipe du projet Oléoduc Énergie Est a besoin afin de déterminer le tracé idéal qui aura le moins d’impact sur les propriétaires fonciers, les résidents et l’environnement.
Depuis que le projet a été annoncé en 2013, nous avons rencontré plus de 7 000 propriétaires fonciers qui vivent le long du tracé proposé de l’oléoduc qui s’étend de l’Alberta jusqu’au Nouveau-Brunswick.
De nombreuses études menées par des agences indépendantes et des groupes de réflexion universitaires ont toutes conclu que le bitume dilué est essentiellement semblable au pétrole conventionnel. Il n’est pas plus susceptible de couler au fond de l’eau et n’est pas plus corrosif pour un pipeline que le pétrole brut conventionnel.
Les pipelines sont enfouis, ce qui constitue la meilleure protection; la conception et le choix des matériaux utilisés aident également à protéger le pipeline de tout dommage causé par des vibrations sismiques et des tremblements de terre.
La conception d’un gazoduc et d’un oléoduc est essentiellement la même. Dans les deux cas, nous utilisons les mêmes procédés de construction, les mêmes techniques de soudage et les mêmes matériaux. La principale différence entre un gazoduc et un oléoduc est l’épaisseur de la paroi et l’emplacement des vannes de sectionnement. Sur un gazoduc, une paroi plus épaisse est utilisée dans des secteurs à plus forte densité de population. Sur les oléoducs, c’est pour le franchissement de cours d’eau qu’une paroi plus épaisse sera utilisée.
Non. La pression dans un pipeline est déterminée par les propriétés physiques de la conduite, et non par le produit qui est transporté. La pression d’exploitation maximale utilisée par TransCanada est la même, qu’il s’agisse d’un gazoduc ou d’un oléoduc.
En ce moment, les franchissements de rivières que nous remplaçons comportent des conduites de 36’’ de diamètre. Nous les remplaçons par des conduites de 42’’ de diamètre. C’est important que l’oléoduc ait un diamètre de 42’’ d’un bout à l’autre, ce qui nous permet d’inspecter l’intégrité de la conduite, pendant son fonctionnement, à l’aide d’outils d’inspection interne (des dispositifs spécialisés comme le racleur intelligent).
Les vannes de sectionnement sont des dispositifs installés tout le long d’un pipeline qui permettent d’isoler n’importe quel segment, si les données recueillies indiquent qu’il fait l’objet d’une fuite. Dans le cas très improbable d’une fuite, les opérateurs du centre de contrôle activeront les vannes afin de les fermer et d’interrompre la circulation du pétrole dans la zone touchée par la fuite potentielle.
La conversion d’un pipeline existant s’aligne sur notre engagement en matière de gérance de l’environnement. Le pipeline existant est déjà enfoui dans le sol, nous permettant de minimiser notre empreinte environnementale durant la construction.
Parmi les étapes de conversion d’un gazoduc en oléoduc: S’assurer de l’intégrité de la conduite avant de la convertir, déconnecter le pipeline du réseau de gaz naturel, installer de nouvelles vannes et stations de pompage.
TransCanada engage des consultants spécialisés, des biologistes et des scientifiques pour étudier le sol, la végétation, la faune, les ressources archéologiques et les milieux humides. Nous menons ces études pour nous aider à comprendre les impacts potentiels de nos projets sur l’environnement. Ces études nous permettent de développer les stratégies d’atténuation appropriées et nous assurer que nous ne provoquons pas d’effet négatif sur l’environnement.
Nous avons de nombreuses initiatives en place afin de protéger et préserver la faune. Récemment, nous avons mis de l’avant une initiative dans le nord de la Colombie-Britannique, relativement au projet Prince Rupert Gas Transmission, dans le but de protéger le caribou des bois. Les caribous ont été regroupés dans une zone qui les protégeait des prédateurs, en pleine saison de vêlage. Ils ont par la suite été relâchés dans la nature pour maintenir leur population.
Oui. Si un pipeline est bien entretenu, sa durée de vie sera indéfinie. TransCanada dépense environ 1 milliard $USD par année sur l’intégrité de ses pipelines afin de continuer à les exploiter de façon sécuritaire, au sein de collectivités comme la vôtre.
TransCanada a mis en place de nombreuses mesures afin de surveiller ses pipelines : -Un centre de contrôle de haute technologie situé à Calgary, doté de personnel sur place 365 jours par année, 24 heures par jour. –Nos employés hautement qualifiés du centre de contrôle assurent le fonctionnement des systèmes de pipelines, contrôlent la détection des fuites et peuvent fermer les pipelines dans le cas improbable d’une urgence. –Nous avons également recours à de la surveillance aérienne et au sol. –Les propriétaires fonciers jouent également un rôle clé dans la surveillance globale de nos pipelines et complètent le travail fait par TransCanada.
Le racleur intelligent est propulsé par le pétrole ou le gaz naturel qui circule dans la conduite et nous aide à voir l’intérieur, le milieu et l’extérieur du pipeline pendant qu’il fonctionne. En se déplaçant, des capteurs détectent les modifications sur l’acier du pipeline causées par des bosses, des fissures ou des pertes de métal. Cette information nous aide à déterminer les caractéristiques de la conduite que nous devrions examiner davantage.
Un racleur intelligent est un outil d’inspection interne qui détecte différents risques dans le pipeline, tels que des pertes de métal et des bosses, ainsi que des événements géotechniques sous le pipeline.
Nous avons recours à différentes méthodes pour le franchissement des cours d’eau. La principale méthode est un franchissement sans tranchée qui n’affecte pas le lit ou les berges du cours d’eau, ni la sensibilité des ressources de poissons. Cette méthode s’appuie sur une technique de forage sous le cours d’eau pour faire passer la conduite d’un côté à l’autre.
Nous habitons et jouons dans ces secteurs, tout comme vous. C’est pourquoi nous tenons à protéger l’environnement pour les générations futures – c’est une de nos plus grandes priorités. Nous travaillons en collaboration avec les agences environnementales, les gouvernements et les Premières Nations afin de développer des plans de protection de l’environnement et d’atteindre notre objectif : contrôler et minimiser notre empreinte environnementale. Nous procédons à une évaluation environnementale et socioéconomique (EES) et développons un plan de protection de l’environnement (PPE).
La probabilité d’un incident lié à un pipeline est extrêmement faible. C’est pourquoi il est essentiel de travailler avec les premiers répondants afin de nous préparer à affronter l’événement qui risque le moins de se produire au cours d’une carrière. C’est précisément pourquoi TransCanada travaille étroitement avec les équipes locales d’intervention d’urgence des collectivités où nous exerçons nos activités. Nous savons qu’en travaillant avec les équipes de premiers répondants locaux, nous assurons la sécurité du public, qui revêt la plus grande importance pour tous.
Énergie Est est responsable à 100 pour cent de l’intervention, du nettoyage et de la restauration du site, dans le cas improbable d’une fuite sur un pipeline. Nous serions également responsables à 100 pour cent des coûts liés aux travaux de remise en état. La réglementation canadienne en matière de pipelines est rigoureuse, transparente et parmi les plus strictes dans le monde. En tant qu’entreprise responsable, il est de notre devoir de satisfaire à ces exigences. Tout au long de nos 65 années d’existence, nous avons pris cette responsabilité très au sérieux.
Énergie Est s’étendra sur 4 500 kilomètres (km). Toutefois, 3 000 km de conduite (70 pour cent du pipeline) sont déjà dans le sol. Énergie Est convertira ces 3 000 km de la Canalisation Principale Canadienne et construira 1 500 km supplémentaires de nouveau pipeline.
Les oléoducs représentent la façon la plus sécuritaire de transporter de grandes quantités de pétrole. Ceci a été confirmé par l’Association canadienne de pipelines d’énergie (ACPE) ainsi que par une étude de l’Institut Fraser. Le transport du pétrole par d’autres méthodes, telles que les trains ou les navires pétroliers, comporte de plus grands risques de déversement ou de blessures que par pipeline.
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Avec la collaboration des parties prenantes locales, TransCanada développera et mettra à jour des plans d’intervention d’urgence (PIU) afin d’être prêts à intervenir rapidement et efficacement sur toute situation d’urgence liée au pipeline. Rien qu’en 2015, nous avons organisé plus de 125 simulations et exercices d’urgence avec des premiers répondants locaux et des agences publiques, dans tout notre réseau de pipelines. Les intervenants d’urgence ont accès à de l’équipement d’intervention, sur des sites tout le long du tracé du pipeline.
Le bitume dilué se comporte de la même façon que le pétrole brut régulier dans l’eau et des études ont démontré qu’il n’est pas plus corrosif pour les pipelines que d’autres types de pétrole brut.
Une fuite sur un pipeline est extrêmement improbable et TransCanada n’a jamais échappé une seule goutte de pétrole dans un cours d’eau, en plus de 65 ans de transport de produits énergétiques. Ceci étant dit, le bitume dilué (dilbit) se comporte de la même façon que le pétrole brut conventionnel, c’est-à-dire qu’il flotte dans l’eau. Tous les types de pétrole peuvent potentiellement couler s’ils demeurent dans l’eau pour une durée prolongée. Le nettoyage du dilbit présente les mêmes défis que le nettoyage du pétrole conventionnel. Un nettoyage rapide est donc crucial et dans les deux cas, les conditions de l’environnement et du site détermineront les meilleurs équipements et procédures à utiliser.
Veuillez communiquer avec l’équipe d’Énergie Est à [email protected]